Depuis le temps que j'attendais de pouvoir vider mes GROSSES COUILLES sur une traduction de Katsuragi Misato, j'ai immédiatement empoigné mon CHIBRE VEINEUX en m'imaginant l'ENFOURCHER et lui DÉMOLIR LE FION, RAMONER SA PUTAIN DE CHATTE pendant qu'elle crie au rythme de mes COUPS DE BITE jusqu'à ce que je reproduise la FONTAINE DE TRÉVI DANS SON GROS CUL et qu'elle SUCE MON GLAND pour en absorber le PRÉCIEUX NECTAR. La merveilleuse traduction nous permet de nous imprégner au mieux de la psychologie des personnages torturés, de toutes les nuances de leurs personnalités. La subtilité des dialogues couplée aux dessins finement travaillés des visages est un travail de grand maître qui ouvre sur les plus prestigieux philosophes, et n'est pas sans rappeler le moi non-conscient que théorisait Schopenhauer. Il s'agit d'une fine analogie de la condition humaine, sujet fort passionnant dont cette oeuvre a ouvert une nouvelle porte : la dualité honte et envie, le paradoxe plaisir et regret. Merci à Katsuragi Misato d'avoir apporté à l'Occident cette clé de voûte de l'art, il y a fort à parier qu'elle sera, grâce à lui ou elle, analysée pendant des décennies et que notre compréhension de l'âme humaine en ressorte grandie.